« La jeunesse n’est pas seulement l’avenir, elle est aussi le présent de la politique », déclarait en octobre 2006 Kofi Annan alors Secrétaire général des Nations Unies, dans son discours au Sommet mondial du leadership des jeunes.
Cette pensée trouve aujourd’hui écho dans le parcours de Regulis N’Kabu Lusikila journaliste (international et national), communicateur et vice-président du syndicat de l’Agence Congolaise de Presse (ACP) en République Démocratique du Congo. Il s’est toujours engagé à faire entendre la voix de la jeunesse dans toutes les sphères de la vie sociale.
Très actif auprès des jeunes de Kinshasa, notamment capitale de la RDC, il œuvre à leur développement par des actions sociales et éducatives. En parallèle, il milite aux côtés des journalistes pour la défense de leurs droits et l’amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles, aussi bien à travers la grande corporation de la presse congolaise que dans les plateformes syndicales de journalistes.
Mais cet engagement ne date pas d’hier. Déjà à l’université, il laissait l’empreinte d’un homme voué à la cause des autres. On se souvient de cette phrase qu’il prononça lors d’une réunion avec le collège des étudiants, appelant ses pairs à s’engager activement pour la promotion de la jeunesse.
« En tant qu’acteur engagé, nous plaçons la jeunesse au cœur de notre action. Je m’engage à porter leur voix, à créer des opportunités et à bâtir un avenir inclusif et prometteur pour tous les jeunes », avait-il déclaré.
Dans la poursuite de son combat, Regulis N’Kabu présente aujourd’hui des ambitions tournées vers la recherche de solutions durables, non seulement pour les jeunes de la commune de N’djili, mais également dans une vision globale pour toute la capitale congolaise. Et pour concrétiser cette ambition louable, une implication dans la gestion de la chose publique s’impose.
« Notre engagement est d’incarner une nouvelle génération de leadership proche du peuple, intègre, compétent et courageux, pour bâtir un avenir meilleur pour notre héritage commun », a-t-il dit lors d’un entretien portant sur le présent, le passé et l’avenir de la jeunesse congolaise.
C’est ainsi qu’il définit son apport dans la promotion de la jeunesse et le développement de la société congolaise : incarner un nouveau leadership, proche de la population, capable de rendre compte et de répondre aux aspirations des citoyens.
« Notre engagement est d’incarner une nouvelle génération de leadership proche du peuple, intègre, compétent et courageux, pour bâtir ensemble un avenir meilleur pour notre héritage commun », a-t-il réaffirmé.
Sa vision, articulée autour de quatre axes — éducation et formation ; santé et bien-être ; entrepreneuriat et emploi ; citoyenneté, leadership, culture, sport et loisirs — vise à faire de la jeunesse de N’djili en particulier, et de toute la République en général, un levier de développement. Il souhaite accompagner cette jeunesse vers l’autonomie, l’insertion professionnelle et la responsabilité citoyenne.
Par Heri Manema Henry
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